Interventions dans la presse et témoignages à la radio : retrouvez ici les plus belles retombées médiatiques de Novalis Terra.
Presse écrite
La France Agricole – 07 juin 2019
« Trois blés de suite sous couvert de luzerne »
Nicolas Petit implante depuis quelques années ses blés dans de la luzerne qu’il garde vivante pendant plus de trois ans, tout en la contrôlant avec de l’Allié.
EXPERT « La luzerne est la légumineuse la plus adaptée »
« La luzerne est la meilleure légumineuse pour accompagner le blé car elle n’explore par les mêmes zones dans le sol. Elle descend plus profondément et ne le concurrence pas dans son alimentation hydrique. Elle est dormante l’hiver, donc ne gêne pas le blé dans son tallage. Par contre, elle ne supporte pas les sols acides, hydromorphes ou drainés. Si tel était le cas, il faudrait lui préférer un lotier ou un trèfle. Mais l’enracinement moins profond de ces plantes pourra entraîner une concurrence sur la réserve en eau. » Paul ROBERT, dirigeant de Novalis Terra, conseil en nouvelles pratiques agronomiques.
Pour retrouver l’intégralité du dossier (PDF téléchargeable) :
La France Agricole : Trois blés de suite sous couvert de luzerne
L’Echo Républicain – 20 juin 2019
« Il faut ramener de la biodiversité avec des sols aérés »
INNOVATION. Fondateur de Novalis Terra, Paul Robert porte un regard novateur sur les pratiques culturales.
Paul Robert prône une agriculture basée sur la performance du vivant et la fertilité biologique des sols. Il a expliqué pourquoi lors de la troisième réunion de fin de campagne du site Comparateuragricole.com, organisée aux Champs du possible, à Châteaudun, vendredi.
Pour retrouver l’intégralité du dossier (PDF téléchargeable) :
L’Echo Républicain : Il faut ramener de la biodiversité avec des sols aérés
Agrodistribution – 12 juillet 2019
« Un vrai potentiel de démarcation »
Paul Robert a créé la société de conseil agronomique Novalis Terra. Fort de son expérience dans la négoce, il propose des formations aux distributeurs désireux de se tourner vers l’agriculture de conservation.
Pour retrouver l’intégralité du dossier (PDF téléchargeable) :
Agrodistribution : Un vrai potentiel de démarcation
Entraid’, supplément Innovagri – août 2019
« Le semis direct sans couverts ne marche pas »
Spécialiste de l’érosion des sols et directeur de la société Novalis Terra, Paul Robert a co-organisé le voyage d’étude au Canada sur le semis direct. Comment se lancer dans le semis direct ? Quelle est l’importance des couverts végétaux ? Entretien.
Pour retrouver l’intégralité du dossier (PDF téléchargeable) :
Entraid’ : Le semis direct sans couverts ne marche pas
Entraid’ – septembre 2019
« En immersion au Canada »
Du 18 au 27 juin, une dizaine d’agriculteurs français sont partis au Canada, pour un voyage d’étude sur le semis direct organisé par Agrilys voyages. La rédaction d’Entraid’ les a suivi dans leur découverte des agricultures des provinces du Québec et du Saskatchewan. Extraits de roadbook…
Réussir Vigne – mars 2020
« La viticulture de conservation au service du sol »
Retrouver un fonctionnement optimal des sols et laisser faire le travail par les organismes vivants, tout en récoltant les bienfais économiques, agronomiques et environnementaux. Telle est la conception d’une agriculture de conservation.
Pour retrouver l’intégralité du dossier (PDF téléchargeable) :
Réussir Vigne : Aller vers un sol autofertile
Vidéo
La France Agricole, chaîne YouTube – juin 2019
« Je cultive trois blés de suite sous couvert de luzerne »
« Blé sous couvert de luzerne : l’avis d’un expert »
Entraid’, chaîne YouTube – décembre 2019
« Semis direct : comment se lancer ? »
« Semis direct : attention à la chimie de vos sols ! »
« Semis direct : par quelles cultures commencer ? »
« Semis direct : comment bien choisir ses couverts ? »
« Semis direct : pourquoi se lancer en groupe ? »
Web
Entraid’ – 27 mars 2019
« Direction le pays du semis direct pour 10 jours de formation »
Novalis Terra et Agrilys organisent un voyage de formation au Canada sur la thématique du semis direct. Voici le programme et quelques informations.
Du 18 au 27 juin, Paul Robert, ingénieur agronome et gérant de Novalis Terra, accompagne un groupe d’agriculteurs pour un voyage de formation sur le semis direct au Canada, dans la province d’Ontario. Objectif : aller à la rencontre d’agriculteurs fonctionnant en semis direct pour découvrir leurs pratiques, leurs innovations et leur fonctionnement.
Référence Appro, Mag en ligne – avril 2019
« Dossier Terrain : tester, trier, conseiller »
Des distributeurs ont pris le dossier biocontrôle à bras le corps pour tester ces solutions et former leurs équipes à leur utilisation. Chacun à son rythme. Une cadence dictée avant tout par la motivation des hommes en place mais encore freinée par le manque de connaissance, voire par une certaine appréhension des agriculteurs sur le sujet. Témoignages.
Paul Robert, dirigeant du cabinet de conseil Novalis Terra. « Le biocontrôle ? Un fort potentiel de différenciation pour les distributeurs«
Comment réduire l’impact environnemental de ses pratiques tout en préservant le rendement de ses productions ? « C’est pour répondre à cette question que les agriculteurs se tournent vers moi, constate Paul Robert. Cela passe par un accroissement de la fertilité biologique des sols, via l’implantation de couverts végétaux notamment, et par une réduction de la dépendance aux produits phytosanitaires. Les produits de biocontrôle permettent effectivement d’utiliser moins de spécialités de synthèse. Mais je constate qu’ils sont souvent mal utilisés et donc, peuvent décevoir leurs utilisateurs. Techniciens et agriculteurs manquent de conseils. Mes clients-distributeurs me demandent de former leurs hommes de terrain, un peu perdus devant la multiplicité de l’offre. Il est important que ces spécialités s’incluent dans une approche globale de conduite des cultures. Cette nouvelle offre est une opportunité pour les distributeurs de se différencier, de remettre l’agronomie au coeur des échanges avec les agriculteurs. »
Pour retrouver l’intégralité du dossier (PDF téléchargeable) :
Référence Appro : Dossier Terrain : tester, trier, conseiller
La France Agricole – 04 juin 2019
« Blé sous couvert de luzerne, l’avis d’un expert »
Paul Robert, conseiller en nouvelles pratiques agronomiques, accompagne les polyculteurs dans l’agriculture de conservation. Il explique l’intérêt de cette association sur la structure des sols et le choix de l’espèce implantée.
Horizons-journal.fr – 19 juin 2019
« Et de trois pour ComparateurAgricole.com »
Le négoce en ligne ComparateurAgricole.com a organisé, le 13 juin à Châteaudun, sa troisième réunion de fin de campagne.
Puis, Paul Robert, fondateur de la société Novalis Terra a fait un exposé sur l’agriculture de conservation.
Selon lui, le monde agricole doit changer : « Même en gardant le système que l’on a, on voit la situation économique de nos exploitations se dégrader. Plus on travaille les sols, plus on crame de la matière organique, plus on crée d’érosion. Or, le semis direct sous couvert place le sol au cœur du système, augmente sa fertilité et diminue la dépendance aux intrants. » CQFD.
Pour retrouver l’intégralité du dossier (PDF téléchargeable) :
Horizons-journal.fr : Et de trois pour ComparateurAgricole.com
AFP – août 2019
« Comment les sols et l’agriculture peuvent aider le climat »
Comment l’agriculture contribue à réchauffer le climat ? Une meilleure gestion des sols agricoles aiderait-elle à refroidir la planète ? A l’heure où le GIEC publie un rapport sur le sujet, seules des solutions complexes émergent, car la terre compte toujours plus de bouches à nourrir.
L’érosion des sols agricoles contribue-t-elle au réchauffement ?
Oui, et le réchauffement accélère l’érosion aussi : l’érosion des sols par le labour, utilisé depuis des millénaires pour oxygéner la terre, dépasse de 10 à 100 fois le taux de formation de nouveaux sols, selon les experts du GIEC. Mais le changement climatique lui-même « exacerbe la dégradation des terres notamment sur les côtes, dans les deltas, les zones sèches et dans le permafrost ».
« Dans les endroits trop travaillés, lorsqu’il n’y a plus de réserve de sol, et que la roche-mère apparaît après des centaines d’années de charrue, il y a moins de transpiration de l’eau, et moins d’eau libérée dans l’atmosphère », explique Paul Robert, ingénieur français qui a créé en 2018 la société Novalis Terra pour former agronomes et responsables de coopératives.
« Des régions australiennes qui étaient vertes il y a 200 ans sont aujourd’hui désertiques à cause de l’agriculture », selon lui. Au Sahara, le projet de reboisement de la « ceinture verte » sert à lutter contre l’avancée du désert en créant des micro-climats locaux pour essayer d’inverser la tendance.
Papier repris sur :
RTL Info
Sciences et Avenir
L’info durable
Goodplanet Info
Entraid’ – 8 août 2019
« Comment les sols et l’agriculture peuvent aider le climat »
Comment l’agriculture contribue à réchauffer le climat? Une meilleure gestion des sols agricoles aiderait-elle à refroidir la planète? Au moment où le GIEC planche sur le sujet, seules des solutions complexes émergent, car la terre compte toujours plus de bouches à nourrir.
« Dans les endroits trop travaillés, lorsqu’il n’y a plus de réserve de sol, et que la roche-mère apparaît après des centaines d’années de charrue, il y a moins de transpiration de l’eau, et moins d’eau libérée dans l’atmosphère », explique Paul Robert, ingénieur français qui a créé en 2018 la société Novalis Terra pour former agronomes et responsables de coopératives.
Entraid’ – 5 décembre 2019
« Comment se lancer dans le semis direct ? »
Par où commencer? Avec quelles cultures? Comment choisir ses couverts? Eléments de réponse en 5 vidéos.
En juin dernier, Novalis Terra et Agrilys organisaient un voyage d’étude sur l’agriculture de conservation au Canada. L’objectif était de partir à la rencontre d’agriculteurs canadiens pratiquant le semis direct et le semis direct sous couvert. Il s’agissait de comprendre leurs façons de travailler et de réfléchir à ce qui peut être adapté en France. Alors, comment passer au semis direct ?
La France Agricole – 27 décembre 2019
« Gardez les altises à l’œil sur vos colzas »
Pour déterminer la dose d’azote à apporter en sortie hiver au printemps, une pesée est nécessaire en entrée d’hiver. Mais c’est aussi l’occasion de constater les dégâts d’altises et de surveiller la présence de larves.
Cette année, même certains colzas semés en association ont pu subir des attaques importantes d’altises. Pour Paul Robert, dirigeant de Novalis Terra, société de conseil en nouvelles pratiques agronomiques, ce qui fait la différence c’est la date de semis du colza. « À partir du 1er août, il faut être prêt à semer du colza dès qu’il pleut », prévient-il.
Radio
France Info – août 2019
Pour plus d’informations sur Novalis Terra, contactez-moi ici ou directement sur mon profil Twitter @PaulRobertAgo.